Bienheureux ceux qui comprendront l’amour d’une Mère!

Dans le message qui suit, N-D. des Roses exprime la douleur poignante qui a envahi son cœur durant la Passion de Jésus et l’anxiété tragique qu’elle éprouve aujourd’hui à voir ses enfants de la terre ne pas revenir à Dieu. Mais en même temps, elle ne cesse d’aimer, de témoigner la surabon- dance de sa compassion maternelle envers tous. La réalité de la Passion transparaît à travers ses paroles. Mais non pas comme une ombre. Car la Croix ne fait pas d’ombre, elle la déchire au contraire. L’accepter ne conduit pas aux ténèbres, mais à la Lumière de l’Amour. Ecoutons notre Maman!

Message complet ci-dessous :

"Mes enfants, je suis venue pour enflammer votre cœur, pour l’embra- ser, pour demander pitié et miséricorde pour vous et pour le monde entier. Demeurez prêts, demeurez en état de pénitence, demandez pitié car mon Fils Jésus, tout blessé et flagellé, gît mourant sur le gibet. Alors vous, offrez les douleurs et vos peines.


Je suis ici en votre présence pour appeler mes enfants à la pénitence et à la prière : le cri d’une mère qui appelle ses fils, qui ne veut pas les perdre, mais qui veut les étreindre dans ses bras et les serrer sur son Cœur. Je veux qu’ils reposent sur mon sein et qu’ils écoutent mes paroles de Mère, qui crie ! ... qui crie ! ... Qui pleure amèrement de voir tant de fils sur le bord du précipice. Mais ils n’écoutent pas ma parole. Ils ne voient pas toutes ces âmes qui vont si nombreuses à la perdition. Tant de tragiques événements ! Tant d’épouvante ! Tant de clameurs ! Tant d’offenses à mon Fils Jésus !
L’heure a sonné, mes enfants, et on n’écoute pas ma parole de Mère qui pleure tellement, tellement, [...] Le Père Eternel est Père d’Amour, Il est Miséricordieux. Mais maintenant Il a dit ‘Assez, mes enfants, assez, puisque vous n’écoutez pas mon Epouse : une Mère qui pleure, une Mère qui crie àl’aide pour sauver ses enfants.’


Priez, mes enfants, priez et ne m’abandonnez pas. Serrez-vous contre moi et regardez vers moi, en ce lieu où je viens si souvent pour voir mes enfants ; et me voir abandonnée, après tant de grâces que j’ai répandues, après tant d’amour que j’ai donné, après tant de conversions que j’ai faites ! Que valent les grâces matérielles si après cela l’âme se perd ? Mon Fils Jésus est mort sur la Croix ; mais c’est pour vous sauver qu’Il est mort sur la Croix : pour sauver votre âme et un jour, vous porter dans la Patrie Céleste. On ne comprend pas le sacrifice que j’ai fait au long de la voie douloureuse du Calvaire: pas à pas, pour suivre mon Fils Jésus, pour sauver mes enfants. J’ai donné tout moi- même, j’ai donné mon Fils mort en croix pour sauver toute l’humanité. Mais peu comprennent le cri d'une Mère qui demeure épouvantée. [...]


J’ai tant souffert avec amour et douleur, pour sauver l'humanité, et main- tenant, la voir aller à la perdition ! Souffrez et offrez, mes enfants, avec moi. Serrez-vous fort contre moi. N’abandonnez pas mon lieu. Il sera le lieu du refuge, le lieu de l’amour, de la tranquillité, de la bonté, de la douceur, où je vous couvrirai de mon manteau et je vous étreindrai entre mes bras. Annon- cez à tous qu'ils doivent prier. Ils ne doivent pas m'abandonner, et moi, je ne les abandonnerai pas. [...] Mes enfants, écoutez-moi, écoutez mon appel de Mère! Dites à tous qu’ils n’abandonnent pas mon lieu ; qu’ils se fortifient da- vantage dans la Foi et l’amour envers moi ! Qu’ils acceptent la croix et qu’ils se tiennent à côté de moi, et nous triompherons en tout et à travers tout. Je vous donnerai beaucoup de joie dans le cœur, et vous aurez la force de por- ter la croix. Je vous donnerai beaucoup d'amour pour moi et pour mon Fils Jésus. Je vous donnerai beaucoup de tranquillité, beaucoup de sérénité, et vous pourrez affronter tout ce qui arrivera. Parce que je suis Maman de miséricorde, de pardon, la Corédemptrice de tous, le Salut de tous, qui vous aime tellement, mes enfants, et je veux être aimée de tous mes enfants. Bienheureux ceux qui comprendront l'amour d'une Mère! "

Source : Bulletin de l'ospizio, juin 2014